Les contributeurs

Les contributeurs de L'Escamoteur - Dessin de Julie Savoye

L’Escamoteur est une association loi 1901. Les contributeurs bénévoles de L’Escamoteur, c’est :

1. CE SITE avec des personnes qui écrivent, dessinent et photographient pour vous proposer des articles sur l’histoire de la musique, des récits originaux ou encore des interviews d’artistes vivants.

2. UNE COLLECTION DE VINYLES qui nous suit en soirée. Vous avez pu nous croiser à la Halle Papin, aux Grands Voisins ou encore au 9B avec beaucoup de funk mais pas que.

3. UN MINI FESTIVAL une fois par an, en juin. On se retrouve au milieu de la campagne normande, on tire des équipes au sort et on fait des olympiades qui nous mènent tranquillement à l’heure de l’apéro. Ensuite, on sort ladite collection de vinyles et ça se passe sous la boule disco.

4. DES MICRO-EDITIONS allant d’un fanzine réalisé pour les Effusions à des dépliants A4 dont un sur l’histoire fictive de l’acid.

5. UN PODCAST tous les mois.

6. DES “CHALLENGE TON SAMEDI” pour donner du relief au week-end ! On se balade toute une après-midi en racontant nos histoires et en écoutant les vôtres.

7. DES APPELS A CONTRIBUTION, pour que toi aussi tu deviennes L’Escamoteur !

ET BIEN PLUS

Dramaturge en herbe, je me passionne pour les arts, pour les récits romantiques, et pour les fêtes emplies de monde et de bonne musique. Et c’est tout à fait ça, pour moi, l’Escamoteur : ça commence par une histoire d’amour en vacances, ça me fait vous écrire sur ce qu’il faut voir, faire et découvrir et ça réunit tout Paris autour de DJ sets endiablés. Sans parler du nom même de l’association qui est, disons-le, tout à fait théâtral, car n’est-ce pas l’essence même du théâtre que d’escamoter, de feindre et de mentir pour mieux vous dire la vérité ?
Jeune pigiste au parler pittoresque et amateur de langue verte d’Audiard. C’est un grand lecteur éclectique, passionné de bandes-dessinées, pouvant sauter des romans de la beat génération à Balzac et de Dostoïevski aux mythes indiens d’Amérique du Nord. Co-responsable de l’événementiel à temps-partiel thérapeutique.
Graphiste pour la presse jeunesse et illustratrice à mes heures perdues, ancienne danseuse et nouvelle toulousaine, j'aime bien sortir mes pinceaux et mes tubes de gouache à l'occasion. Du soleil, du rose, des paillettes et des bonnes ondes : THIS IS WHAT LIFE IS ABOUT !
Le Collectif La Méandre habite dans un port, et se nourrit d'art, d'amour et d'eau fraîche. Le Collectif La Méandre a les écailles qui brillent mais n'est ni un monstre marin, ni un raz-de-marée. Le Collectif La Méandre est composé d'acharnistes qui refusaient les lignes droites. Le Collectif La Méandre est jeune, beau et entretient plusieurs relations libres. Le Collectif La Méandre cherche la gloire, l'argent et le pouvoir, comme tout le monde.
L'homme couteau-suisse qui voue son existence au beau sans toujours comprendre son utilité. Celui qui dit beaucoup "au fait" dans le podcast La Collec' aussi. Celui qui garde un peu trop la bouche ouverte au risque de baver sur les vinyles quand il mixe. Mot d'ordre : allez vite, je me charge de prendre le temps.
Après plus d'une dizaine de déménagements et la longue élaboration d'un CV Frankenstein, ma mère aime encore me répéter en levant les yeux au ciel « mais quand est ce que tu vas te trouver »... Elle n'a pas encore compris que j'ai l'intention de chercher pendant encore longtemps, et si possible, là où on ne m'attendra pas.
Hello ! Je m'appelle Marie Casaÿs, je suis illustratrice indépendante basée depuis 2015 à Paris. Je dessine des majoritairement des portraits (artistes, entrepreneurs...) et des corps érotique (majoritairement féminins) au crayon de bois ou avec des crayons de couleurs sur papier. On m'identifie surtout via mes portraits en dessin de DJs techno et mes illustrations et stickers très colorés de fesses ;) C'est sur Instagram que je suis le plus active pour parler de mes projets, on se retrouve là-bas après :) ? xx MC
Romanebonsoir est née le 29 juin 1994 à Marseille. Est-ce un hasard si cet heureux événement advient deux-cents ans après qu’on ait brièvement rebaptisée la cité phocéenne « Ville-sans-nom » ? Oui. Car Romanebonsoir ne tarde pas à s’emparer d’un crayon, et à dessiner directement sur internet (voyez plutôt), sauvant ainsi la vie de milliers d’arbres.
Aventure, attachement, perte, garde de contrôle. Ou comment ne pas donner d'importance au matériel, mais davantage aux beaux souvenirs vécus et aux prochains à vivre.
Espace de liberté, L'Escamoteur me permet de proposer des petites bulles d'écriture qui donnent un aperçu de mon univers.
Depuis 1993, Lucas Kozak est rythmé par les bruits de moteurs, la musique d’un poste d’autoradio, les pixels d’un écran. Il imagine les ombres inquiétantes de la campagne se mouvoir. Elles le suivent jusqu’à la découverte des lignes froides et de l’atmosphère spécifique du paysage urbain. Il commence alors à isoler la ville dans des cadres. Jouant avec le hors champ pour que le spectateur laisse libre cours à son imagination et dessine un avant-après. Ses photographies sont comme des décors où émerge l’inhabituel. Le cadrage comme source de tension, la ville comme catalyseur d’une violence imaginée, son sens de l’inquiétante étrangeté. En dehors du réel, il erre dans des représentations virtuelles de paysages urbains qu’il exploite comme un terrain de jeu, à la recherche de zones semblants égarées ou suspendues. Sa façon de mettre pause sur un monde qui ne souhaite pas ralentir.
Formée à la recherche en sciences sociales, je me tourne ensuite vers le cinéma documentaire. Depuis, je vois beaucoup de films. Ma première expérience de tournage se passe en moto, entre la maison, le garage et l’usine. Je tiens la caméra. Je découvre le plaisir d’être dans l’instant présent, ne rien pouvoir anticiper, trouver l’acuité nécessaire pour regarder vraiment. Je m’exerce depuis à la photographie argentique, en observant les objets qui attirent mon attention : les stations-service, voies de chemin de fer, terrains vagues, chantiers mais aussi les plantes. Et les humains, parfois, quand ils veulent bien !
A en croire Pablo Neruda : « Il meurt lentement celui qui ne voyage pas, celui qui ne lit pas, celui qui n'écoute pas de musique, celui qui ne sait pas rire de lui-même, celui qui ne prend pas de risques pour réaliser ses rêves ». Alors, je me risque. Je dessine.
Julia Bourdet est graphiste, mais parfois elle dessine aussi.
Je soutiens et participe à l’association l’Escamoteur depuis ses débuts. Je profite du melting-pot intellectuel et manuel de l’association pour faire des choses que le quotidien ne m’offre pas. Ainsi j’ai pu avoir le statut de trésorière, groupie, vendeuse, porteuse de projets, croqueuse d’événements, danseuse professionnelle, conceptrice de bons points, penseuse de goodies, éditorialiste, couturière, décoratrice, cuisinière, arbitre d’olympiades et présente. Le reste du temps je suis artiste plasticienne et creuse les questions entre ligne, variation et infini. Vous êtes les bienvenus à l’atelier pour voir et comprendre en vrai.
Vraiment les biographies, ce n'est pas mon truc, Mais qu'est ce que je pourrais vous raconter de sympa sur moi ? Que j'aime la vie, la croque à pleine dent ? Oui oui, que je dessine pour moi mais aussi beaucoup pour les autres, que j'aime partager et éveiller des émotions chez mon ami l'être humain ? Tout à fait, Que je peins les concerts et les musiciens en Live depuis longtemps et que j'ai hâte d'être au prochain ? Qu'il y a un grain de folie et plein d'autres choses.
L’enfance d’Albane n'est pas bercée par les comptines d’Henri Dès mais par les sons de Depeche Mode, Front 242 et New Order dont son père est fan. Petit à petit elle se fait sa propre culture musicale tout en gardant un fort attachement à ces sons new age, acid et industriels des années 1990. Consciente des enjeux socio-culturels actuels du milieu de la techno, elle réalise en 2017 son mémoire universitaire: « La techno : un processus de légitimation ». Ce qu’elle aime tout particulièrement, c’est le côté inclusif de cette musique qui s’exprime à travers ces fêtes messianiques où les danseurs communient ensemble dans un espace/temps suspendu.
Lev Khvostenko est né en France en 1994 d’une famille d’immigrés Russes. Son père et son grand-père collaboraient à Paris à la revue des poètes russes expatriés Echos. À travers une approche pluridisciplinaire de la poésie, mêlant photographie, collage, cinéma documentaire et écriture, Lev explore des moyens d’enchanter le monde et de combattre la souffrance quotidienne de l’homme. Il offre au lecteur un miroir pour retrouver son propre monde, ainsi qu’un temps pour y réfléchir, dans lequel il l’accompagne avec bienveillance.