L’Escamoteur, c’est aussi des événements. Vendredi dernier, nous étions au 9B avec la team d’All We Need Is Acid, un groupe de social digging exclusivement dédié à… l’acide. L’acide, c’est un courant musical qui est essentiellement identifiable par un son de basse tout particulier, celui du synthétiseur TB 303 produit dans les années 80 au Japon. L’histoire de ce mouvement, on l’a racontée dans un article que vous pouvez consulter en cliquant sur ACID.
Vous l’avez lu ? Vous avez donc maintenant l’histoire de l’acid en tête. Ce qu’on vous propose avec les images qui défilent au sommet de cette page que vous lisez, c’est plutôt une histoire sous acid. On change de perspective et on dérive gentiment. (Si vous avez des jeux de mots aussi funs que ceux proposés on est preneurs, il y aura récompense à la clé.)
Non, vous ne rêvez pas ! Puisqu’on est dans le revival, vous pourrez entendre en bonus les vinyles qu’on a passé en début de soirée avant le dj set de Me-diafan ainsi que le live de Nomaz. Nous on était légers niveau acid mais vous reconnaîtrez autour de la minute 18 la TB 303 de Max Arto, un groupe de rock marseillais qui dès novembre 1982 avait sorti un album avec tout l’attirail de Roland à l’époque (TB 303 et TR 808 attention les mirettes). Un morceau dénonçant la Guerre Froide et le Danger – c’est le titre du morceau – d’une guerre nucléaire à l’horizon. Si tracklist vous voulez, tracklist demandez à contact@lescamoteur.fr
Escamoprint #004 : qui se cache derrière ?
15 exemplaires de ce livret ont été imprimés au format A4. A4 pas vraiment car on replie tout ça en 8 et en fait ça fait une sorte de mini BD, mise en page par les soins de Luce Terrasson sur un texte de Nils Savoye. C’est ce que nous nous plaisons à dénommer un Escamoprint. Au recto, vous avez la BD. Quand vous dépliez le tout, au verso, vous avez une mini affiche qui fait très bien dans les salles de bain. C’est la quatrième édition, il y en aura une cinquième, une sixième et ainsi de suite. Toutes à découvrir exclusivement lors de nos événements ou quand on en laisse traîner quelque part. Il en reste quelques-uns au 9B apparemment…
